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JACQUES LEDOUX ETONDE
Les ((Bayam-sellam)) méritent qu'on les soutienne
Le chef d'agence du FNE pour la région du Centre parle du bien fondé de cette formation des «Bayem-sellam»
Qu'est ce qui justifie cette formation des Bayam-sellam ?
Cette formation des «Bayam -sellam» sur les gestions et techniques commerciales se justifie par le fait que le FNE est d'abord un organisme de promotion de l'emploi. Cela veut dire que nous faisons non seulement l'intermédiation pour que les jeunes trouvent du travail, mais aussi nous faisons tout pour que ceux qui ont déjà un emploi, le maintienne. Nous avons constaté qu'il y a des acteurs de l'économie qui ont des revenus fragilisé. Les Bayam-sellam» font partie de ceux là. Nous avons alors pensé qu'il est important de leurs donner un savoir faire, de leurs apporter un plus pour qu'elles puissent être plus aguerries pour mener à bien leurs affaires.
Pourquoi les «Bayam-sellam» ?
Les «Bayam-sellam» sont très bien organisées. C'est facile de travailler avec elles. Elles sont sérieuses dans ce qu'elles font. A chaque fois que nous avons travaillé avec elles, nous avons toujours été satisfaits. Elles remboursent toujours les prêts que nous leurs octroyons. Et elles savent gérer les financements que nous les octroyons.
Les «Bayem-sellam» jouent-elles un rôle dans l'économie du pays ?
Tout à fait, les «Bayem-sellam» jouent un très grand rôle dans notre économie. C'est vrai que c'est une économie précaire. Mais elle est indispensable. C'est pour cela qu'ils font soutenir ces gens qui se battent pour nourrir leur famille et envoyer des enfants à l'école. Elles méritent qu'on les soutienne et qu'on les aide à mieux s'organiser.
Quelles sont vos attendes pour cette formation?
Le FNE à travers son programme d'appuis au développement de l'emploi finance des producteurs. Ce financement se fait en zone urbaine, en zone rurale et en zone péri urbaine. Nous finançons aussi des distributeurs puisque les «Bayam-sellam» sont des distributeurs. Et notre objectif est de boucler la filière. Quand nous finançons des distributeurs nous nous attendons qu'il y ait des gens qui puissent venir stocker cette demande et pouvoir la distribuer. L’objectif est donc de travailler avec la filière. C'est vrai que le financement que nous allouons, à savoir 100 000 Francs cfa par personne, n'est pas important, mais c'est déjà un départ. Les «Bayam-selIam» ont déjà des expériences dans ce domaine. Elles peuvent faire fructifier cette somme. Nous souhaitons à travers cette formation que « bayam-sellam » soit un métier à haut rendement pour l'économie du pays.

etonde-ledouxLe chef d'agence du FNE pour la région du Centre (JACQUES LEDOUX ETONDE) parle du bien fondé de la formation des «Bayem-sellam» 


Qu'est ce qui justifie cette formation des Bayam-sellam ? 
Cette formation des «Bayam -sellam» sur les gestions et techniques commerciales se justifie par le fait que le FNE est d'abord un organisme de promotion de l'emploi. Cela veut dire que nous faisons non seulement l'intermédiation pour que les jeunes trouvent du travail, mais aussi

   nous faisons tout pour que ceux qui ont déjà un emploi, le maintienne. Nous avons constaté qu'il y a des acteurs de l'économie qui ont des revenus fragilisé. Les Bayam-sellam» font partie de ceux là. Nous avons alors pensé qu'il est important de leurs donner un savoir faire, de leurs apporter un plus pour qu'elles puissent être plus aguerries pour mener à bien leurs affaires. 

 

Pourquoi les «Bayam-sellam» ? 
Les «Bayam-sellam» sont très bien organisées. C'est facile de travailler avec elles. Elles sont sérieuses dans ce qu'elles font. A chaque fois que nous avons travaillé avec elles, nous avons toujours été satisfaits. Elles remboursent toujours les prêts que nous leurs octroyons. Et elles savent gérer les financements que nous les octroyons. 

Les «Bayem-sellam» jouent-elles un rôle dans l'économie du pays ? 
Tout à fait, les «Bayem-sellam» jouent un très grand rôle dans notre économie. C'est vrai que c'est une économie précaire. Mais elle est indispensable. C'est pour cela qu'ils font soutenir ces gens qui se battent pour nourrir leur famille et envoyer des enfants à l'école. Elles méritent qu'on les soutienne et qu'on les aide à mieux s'organiser. 

Quelles sont vos attendes pour cette formation? 
Le FNE à travers son programme d'appuis au développement de l'emploi finance des producteurs. Ce financement se fait en zone urbaine, en zone rurale et en zone péri urbaine. Nous finançons aussi des distributeurs puisque les «Bayam-sellam» sont des distributeurs. Et notre objectif est de boucler la filière. Quand nous finançons des distributeurs nous nous attendons qu'il y ait des gens qui puissent venir stocker cette demande et pouvoir la distribuer. L’objectif est donc de travailler avec la filière. C'est vrai que le financement que nous allouons, à savoir 100 000 Francs cfa par personne, n'est pas important, mais c'est déjà un départ. Les «Bayam-selIam» ont déjà des expériences dans ce domaine. Elles peuvent faire fructifier cette somme. Nous souhaitons à travers cette formation que « bayam-sellam » soit un métier à haut rendement pour l'économie du pays.

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